Sites culturels du patrimoine mondial de l’UNESCO au Canada

En juillet 2019, le Canada célèbre l’inauguration d’un nouveau site culturel de patrimoine mondial de l’UNESCO – Writing-on-Stone / Áísínai’pi, situé en Alberta. C’est l’un des 10 sites culturels, allant des profondeurs de la nature sauvage aux centres cosmopolites animés, qui retrace l’histoire des habitants du Canada depuis 6 000 ans. Découvrez ces dix sites culturels de l’UNESCO dans ce court diaporama.

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    Writing-on-Stone / Áísínai’pi, Alberta

    Writing-On-Stone est le plus récent site de patrimoine mondial de l’UNESCO au Canada : il a été désigné comme tel en juillet 2019. Le parc rassemble des pétroglyphes et des pictogrammes (gravures et peintures rupestres) des Premières Nations. Il s’agit de la plus forte concentration de ce type d’œuvres qui soient protégées dans les grandes plaines d’Amérique du Nord. Certaines de ces œuvres datent d’il y a 2 000 ans. La roche exposée de la vallée de la Milk River s’est formée il y a 85 millions d’années. Elle a été érodée après la dernière période glaciaire, créant les formations rocheuses insolites qu’il est maintenant possible d’observer.

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    Pimachiowin Aki, Manitoba

    Le premier site « mixte » du patrimoine mondial de l’UNESCO au Canada – et le plus grand en Amérique du Nord, Pimachiowin Aki est 29 040 km2 d’aire protégée réunissant beauté naturelle et culture autochtone. Un réseau de lieux habités, de chemins et de sentiers de piégeage ancrés dans le paysage naturel reflètent une tradition ancienne et persistante, remontant à plus de 7 000 ans.

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    SGang Gwaay, Colombie-Britannique

    L’UNESCO a jugé que les mâts sculptés sont parmi les plus beaux du genre au monde. Il n’y a plus de présence permanente sur l’île depuis 1880, et ce qui y reste est unique au monde.

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    Canal Rideau, Ontario

    Le Canal Rideau à plans d’eau le mieux préservé d’Amérique du Nord, et le seul datant du début du 19e siècle qui soit encore opérationnel sur tout son tracé initial et qui conserve intactes la plupart de ses structures d’origine.

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    Station baleinière basque de Red Bay, Terre-Neuve-et-Labrador

    Selon UNESCO, le site présente les restes les mieux préservés de la tradition baleinière européenne, y compris des fondoirs, des bâtiments d’habitation temporaires, un cimetière et, sous l’eau, des épaves de bateaux de pêche et des ossuaires de baleines.

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    Le Vieux-Lunenburg, Nouvelle-Écosse

    La ville de Lunenburg s’est fait désignée comme site patrimonial mondial de L’UNESCO parce qu’elle est le meilleur exemple de conservation des établissements coloniaux britanniques au Canada.

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    Paysage de Grand-Pré, Nouvelle-Écosse

    Le paysage de Grand-Pré a été déclaré site du patrimoine mondial de l’UNESCO pour la façon dont on y aborde l’agriculture, et car le lieu a été sélectionné comme témoin de l’histoire des Acadiens aux 17e et 18e siècles, y compris leur déportation à partir de 1755.

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    Lieu historique national L’Anse aux Meadows, Terre-Neuve-et-Labrador

    Le lieu historique national L’Anse aux Meadows est considéré comme le premier lieu d’établissement des Européens en Amérique du Nord. Avec ses restes archéologiques du 11e siècle, il a été déclaré site du patrimoine mondial de l’UNESCO en 1978.

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    Précipice à bisons Head-Smashed-In, Alberta

    Les peuples autochtones des plaines ont utilisé cette falaise de 10 mètres de hauteur pendant plus de 6 000 ans. Leurs « coureurs de bisons » pourchassaient les animaux jusqu’au bord du précipice, d’où la chute était mortelle.

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    Quebec Fortifications and the Chateau Frontenac. / Les Fortifications de Québec et le Château Frontenac.

    Arrondissement historique du Vieux-Québec, Québec

    La ville de Québec revêt une importance particulière dans le patrimoine mondial, étant la seule ville nord-américaine à avoir préservé ses fortifications – faites de remparts, bastions et portes.

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    Précipice à bisons Head-Smashed-In, Alberta

    Les peuples autochtones des plaines ont utilisé cette falaise de 10 mètres de hauteur pendant plus de 6 000 ans. Leurs « coureurs de bisons » pourchassaient les animaux jusqu’au bord du précipice, d’où la chute était mortelle.